Volume 9 • 2022 • Numéro 6

Vous n’avez peut-être pas besoin d’une assurance vie Cette solution est l’assurance vie. Oui, c’est bien ça. Une assurance vie est essentiellement le transfert de votre responsabilité à la compagnie d’assurance. Cela s’applique bien sûr à toutes les assurances, mais d’autres risques comme un incendie, un accident de voiture ou une invalidité peuvent survenir, mais qu’on le veuille ou non, on va tous mourir, c’est certain. Alors, pourquoi ne pas planifier le plus efficacement possible en fonction d’une certitude? Qu’est-ce qui est le plus logique – vendre un actif solide ou payer quelque cents pour chaque dollar (une prime) pour garantir des liquidités ? Un conseiller agréé comprenant les dentistes et la profession peut vous aider à prendre une décision éclairée. J’ai également entendu des gens dire : «Je vais investir l’équivalent de la prime et cet argent reviendra à mes bénéficiaires à mon décès.» Nous avons effectué les calculs. Supposons que le Dr Tom Ciobanu est un dentiste de 42 ans et qu’il veut couvrir sa famille, son contrat d’associés et les impôts sur les gains en capital à son décès. S’il souscrit une assurance vie Temporaire 100 à son âge, il devra payer une prime d’environ 825 $ par mois qui demeurera la même pour le restant de ses jours. S’il paie sa prime chaque année, une prestation de décès de 1000000 $ sera payable, peu importe quand il mourra. En supposant qu’il meurt à un âge correspondant à l’espérance de vie normale, le taux de rendement équivalent après impôt est de 5,9 % sur l’investissement dans la police. N’oubliez pas que certaines primes d’assurance vie et d’assurance invalidité doivent être payées directement par les dentistes (et non par leur ordre professionnel) pour s’assurer que la prestation de décès soit non imposable. Que se produira-t-il s’il décide d’investir l’équivalent de la prime pour générer 1000000 $, la somme nécessaire pour subvenir aux besoins de sa famille et payer les impôts et les dettes ? Il ne s’agit pas d’envoyer la balle en dehors du parc, mais d’investir dans un instrument de placement pour obtenir 1000000 $ à son décès. Au fil des ans, j’ai entendu des gens dire qu’ils avaient suffisamment d’actifs, et qu’ils n’avaient donc pas besoin d’une assurance vie. Le raisonnement sous-jacent étant qu’il serait relativement facile pour la famille ou les successeurs de liquider des actifs pour payer les impôts ou d’autres dettes. Posez-vous la question suivante : est-il logique d’avoir à payer les impôts associés à la vente de vos parts dans un cabinet et d’autres dettes lorsque vous pourriez envisager une autre solution? 37 Numéro 6 | 2022 |

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