Illustration 1

Illustration 1 : La ligne médiane des dents est orientée verticalement par rapport au visage et elle est perpendiculaire à la courbe des incisives supérieures et à la courbe de la lèvre inférieure, ce qui contribue à créer une symétrie agréable à voir.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Illustration 2

Illustration 2 : La courbe des incisives supérieures et le plan gingival ne sont pas en harmonie avec la courbe de la lèvre inférieure; de plus, la ligne médiane n’est pas orientée verticalement par rapport au visage. Tous ces éléments concourent à créer un sourire peu attrayant

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Illustration 3

Illustration 3 : La position correcte du bord des incisives centrales supérieures est capitale pour l’esthétique et le bon fonctionnement de la dentition. Dans un bonne occlusion de classe I, le bord des incisives centrales supérieures est normalement situé sur le même plan que la pointe des cuspides postérieures supérieures.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Illustration 4

Illustration 4 : Dans les malocclusions de classe II, on constate souvent une éruption excessive des incisives centrales supérieures, une exposition excessive des incisives et une courbe exagérée du sourire.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Illustration 5

Illustration 5 : L’éruption excessive des dents antérieures inférieures en raison d’une malocclusion de classe II nuit souvent à l’esthétique et au bon fonctionnement de la dentition des patients.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Illustration 6

Illustration 6 : Le contour interproximal de cette couronne sur implant de l’incisive latérale supérieure a été modelé de manière à imiter l’anatomie naturelle d’une racine dentaire, à limiter la forme et le volume de l’embrasure, et à maintenir la hauteur des papilles.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Illustration 7

Illustration 7 : On constate chez le même patient un niveau favorable de l’os interseptal adjacent à l’implant; ce niveau est un facteur clé pour maintenir la hauteur des papilles. L’orthodontiste a contribué à cette situation en créant assez d’espace entre les dents voisines pour permettre la présence d’os et de tissus mous interproximaux sains après l’installation de l’implant.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Illustration 8

Illustration 8 : Le déplacement distal de la canine par des moyens orthodontiques crée un volume abondant de tissus durs et mous en vue de l’installation d’un implant destiné à remplacer une incisive latérale absente depuis toujours.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Illustration 9

Illustration 9 : Après l’installation d’une couronne sur implant, le contour des tissus du même patient imite l’anatomie normale grâce à la création orthodontique initiale d’un site optimal pour l’implant.