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Le Dr John P. O’Keefe

ÉDITORIAL

Une information de qualité pour résoudre les problèmes cliniques

Le Dr John P. O’Keefe

Imaginez un dentiste qui, aux prises avec un problème clinique particulier, extrait de son ordinateur les solutions à son problème d’un simple clic, ou deux, de la souris sans même avoir à quitter son cabinet. Formidable, dites-vous? Pas vraiment. Au-jourd’hui, les étudiants en médecine et en médecine dentaire apprennent à trouver les solutions à leurs problèmes cliniques dans de vastes bases de données électroniques.

En préparant le Journal, nous devons, à mon avis, viser comme objectif de fournir « des informations destinées à résoudre des problèmes ». C’est pourquoi, tout changement que nous ferons sera fait dans le but de vous aider à trouver des informations utiles et à en jauger la qualité. Vous remarquerez sans doute des changements dans l’édition de ce mois-ci. Ces premiers changements sont censés rendre le Journal plus lisible.

Le Journal évoluera donc au fur et à mesure que nous nous efforcerons de faire de l’ADC une source intégrée d’informations cliniques et scientifiques pratiques. Je veux dire par là que la rédaction entretiendra des relations de travail plus étroites avec le Centre de documentation, la Direction des services professionnels et le Service des congrès de l’ADC afin de vous offrir des informations qui vous aideront à pratiquer de la bonne médecine dentaire.

Le Journal en direct

La version du Journal en direct est maintenant disponible dans le volet public du site Web de l’ADC (http://www.cda-adc.ca). Au début, nous y reproduirons intégralement des articles cliniques et scientifiques sous les rubriques Le numéro courant et Les anciens numéros. Pour les lecteurs, les auteurs, les abonnés et les annonceurs, il y aura également des liens pour obtenir des informations supplémentaires.

Nous vous invitons à explorer le site et à nous faire part de vos commentaires. Au cours des prochains mois, le site prendra de plus en plus forme et consistance; vos commentaires nous aideront à l’améliorer. Je suis d’avis que l’édition électronique offre la possibilité de révolutionner la façon dont le Journal opère. Je puis nous imaginer publiant des articles courts dans la version imprimée, alors que la version en direct procurerait des informations supplémentaires que les auteurs veulent communiquer aux lecteurs intéressés.

Nous songeons à nos lecteurs

À compter de ce mois-ci, nous présenterons différemment les sommaires des articles. Nous voulons que le lecteur affairé puisse les parcourir et saisir rapidement l’essentiel du contenu des articles. Quand c’est possible, les sommaires seront « structurés » avec des sous-titres. Les comptes rendus de recherche appliquée auront un attribut indiquant leur importance clinique.

Les mots clés figurant à la fin des sommaires sont des titres de sujets médicaux (Medical Subject Headings — MeSH). Ce sont des termes que Medline, la base de données de renseignements gérée par la National Library of Medicine des États-Unis, utilise pour classer les articles médicaux et dentaires. Si vous faites des recherches sur Medline à l’aide de ces mots clés, vous obtiendrez des articles semblables à ceux qui paraissent dans le Journal. Nous ajoutons cet attribut afin d’aider les lecteurs à trouver des informations supplémentaires sur les sujets qui les intéressent.

En outre, la rédaction fait parvenir à tout auteur d’un article clinique ou scientifique un questionnaire lui demandant de dévoiler tout intérêt financier qu’il pourrait avoir dans les sociétés qui fabriquent les produits mentionnés dans son article. À compter de ce mois-ci, nous vous ferons part des réponses des auteurs au questionnaire à la fin de chaque article. Je suis d’avis que la divulgation des intérêts financiers est utile à nos lecteurs.

Un message à l’intention des auteurs

FDans les dernières éditions, nous n’avons pas publié d’annonces dans le corps des articles cliniques ou scientifiques. Je sais que c’est important, compte tenu des citations et des tirés à part. Nous espérons maintenir cette politique. Avec des articles plus brefs, nous y parviendrons plus facilement.

Le facteur d’influence d’un périodique est un critère de sélection important pour les auteurs du milieu académique quand vient le moment de décider à qui soumettre leurs manuscrits. Or, étant donné que l’Institute for Scientific Information (ISI) ne l’a pas indexé depuis 1977, le Journal en est dépourvu. L’ISI a accepté d’évaluer le Journal pour éventuellement l’indexer de nouveau. Aussi suis-je d’avis que les membres des facultés de médecine dentaire auront une importance cruciale pour le perfectionnement du Journal. Vous savez comment nous pouvons avoir un facteur d’influence. Attelons- nous donc à la tâche!

Afin de nous assurer que les articles seront d’excellente qualité, nous les faisons réviser par des pairs. Nous sommes en train de concevoir une nouvelle procédure de révision qui sera claire pour tous. Nous effectuons également quelques essais pour voir si nous ne pourrions pas accélérer la procédure. À compter de ce mois-ci, nous indiquerons clairement les articles qui ont été revisés par des pairs.

Vous connaissez vos besoins

Ce sont les besoins des lecteurs en matière d’information qui doivent orienter le Journal. L’une de mes initiatives d’évaluation de ces besoins est de créer un réseau de personnes-ressources qui communiquent par courrier électronique. Ce réseau comprendra des représentants de tous les groupes de la profession du Canada tout entier. J’exhorte donc les présidents, les doyens, les registraires et les directeurs généraux de tous les organismes dentaires du pays à désigner une personne-ressource pour le Journal. J’attends de vos nouvelles!

John P. O'Keefe
1-800-267-6354 poste 2297

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